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**Le Congrès enquête sur l’utilisation présumée d’un autopen dans l’administration Biden** Washington, D.C. – Une nouvelle controverse secoue la Maison-Blanche alors que des enquêteurs du Congrès examinent des allégations selon lesquelles un autopen aurait été utilisé pour signer de nombreux documents officiels, y compris des grâces présidentielles préventives, sous l’administration du président Joe Biden. Le président de la commission de la surveillance de la Chambre des représentants, James Comer, a annoncé que les personnes responsables de l’utilisation de l’autopen ont été identifiées. Cette révélation soulève des questions cruciales sur la responsabilité et la surveillance au sein de la branche exécutive. Selon plusieurs sources, presque tous les documents portant la signature de Joe Biden – à l’exception de sa lettre de retrait – auraient été signés de manière mécanique, ce qui alimente les inquiétudes quant à l’autorisation et au contrôle de cette pratique. Un lanceur d’alerte issu de la police de Washington, D.C., aurait fourni des preuves indiquant que le président Biden n’était pas présent à la Maison-Blanche au moment où certaines grâces ont été signées. Cette information a intensifié la polémique et renforcé les appels à la transparence. L’ancien président Donald Trump a réagi à cette affaire, affirmant que l’utilisation de l’autopen aurait été exploitée par des adversaires politiques pour faire avancer leurs agendas sans véritable contrôle. L’enquête se poursuit alors que les législateurs réclament des explications claires et une transparence totale sur la manière dont les documents officiels sont authentifiés et validés au plus haut niveau de l’État. Les résultats de cette investigation pourraient avoir des répercussions majeures sur la confiance du public envers les institutions et sur les procédures administratives futures.🔥60

Author: 环球焦点
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Le Congrès enquête sur l’utilisation présumée de l’autopen dans l’administration Biden

Washington, D.C. – Une nouvelle controverse secoue la Maison-Blanche alors que des enquêteurs du Congrès examinent des allégations selon lesquelles un autopen aurait été utilisé pour signer de nombreux documents officiels, y compris des pardons préventifs, durant l’administration du président Joe Biden.

Le président de la Commission de surveillance de la Chambre des représentants, James Comer, a révélé que les personnes responsables de l’utilisation de l’autopen ont été identifiées. Cette découverte soulève de sérieuses questions sur la transparence, la responsabilité et la supervision au sein de la branche exécutive.

Selon des sources proches du dossier, presque tous les documents portant la signature de Joe Biden — à l’exception de sa lettre de retrait — auraient été signés mécaniquement grâce à l’autopen. Cette pratique suscite l’inquiétude quant à l’identité réelle des personnes ayant autorisé l’utilisation de cet appareil et à la légitimité des documents ainsi signés.

Un lanceur d’alerte issu de la police de Washington D.C. aurait fourni des preuves indiquant que le président Biden n’était pas présent à la Maison-Blanche au moment où certains pardons ont été signés. Cette révélation alimente davantage la polémique autour de la validité de ces actes officiels.

L’ancien président Donald Trump a rapidement réagi, affirmant que l’utilisation de l’autopen aurait été exploitée par ses adversaires politiques pour faire avancer leurs agendas sans un contrôle approprié. Il a appelé à une enquête approfondie sur la question.

L’enquête se poursuit alors que les parlementaires réclament plus de transparence et de clarté sur les procédures de signature des documents officiels à la Maison-Blanche. Les Américains attendent désormais des réponses sur la portée de cette pratique et ses implications pour la gouvernance du pays.